Aux origines de Transformers avec Robert Hospyan

Saison

4

Épisode

#203

Durée

58 min

 

Le podcast

"On nous informe que tout s'transforme comme les Autobots et les Decepticons"

Entre nanar fantasmé par un adolescent qui tarde à grandir et divertissement décomplexé avec le réalisateur idéal aux commandes (Michael Bay), le projet Transformers avait de quoi diviser.

Vingt ans (eh oui, le premier opus date de 2007 !) et 7 films plus tard, que reste-t-il d'une saga simpliste pour certains, qui continue pourtant à rameuter du monde en salles ? Osons la comparaison : et si Transformers n'était pas si éloigné que ça de Terminator ?

Robert Hospyan, acteur, auteur, réalisateur et scénariste (Balle perdue, Quand on crie au loup, Uberlinks), vient nous parler de cette œuvre qui, n'en déplaise à beaucoup, a posé sa pierre à l'édifice de la science-fiction, notamment grâce à la figure robotique d'Optimus Prime.

 

Le film

Transformers de Michael Bay

Une guerre sans merci oppose depuis des temps immémoriaux deux races de robots extraterrestres : les Autobots et les cruels Decepticons. Son enjeu : la maîtrise de l'univers.

Dans les premières années du 21ème siècle, le conflit s'étend à la Terre, et le jeune Sam Witwicky devient, à son insu, l'ultime espoir de l'humanité. Semblable à des milliers d'adolescents, il n'a connu jusqu’alors que les soucis de son âge : le lycée, les amis, les voitures, les filles.

 

La bande-annonce

 
 

L’essai

Michael Bay, la fin de l'innocence de Robert Hospyan

Réalisateur mal-aimé et souvent incompris, la tornade Michael Bay, qui met au service du cinéma d’action son esthétique reconnaissable entre mille, sème le chaos à Hollywood contre vents et marées depuis le milieu des années 1990.

En s’appuyant sur des éléments biographiques, la parole du réalisateur et de nombreuses analyses thématiques et stylistiques, le livre Michael Bay, la fin de l'innocence de Robert Hospyan creuse au plus profond de sa filmographie. De Bad Boys à Ambulance, il met à mal les préjugés qui l’entourent et tente de résoudre l’énigme paradoxale Bay, entre sincérité et cynisme, fantasme et réalité, cinéma et publicité.

 

L’invité

© Robert Hospyan

Robert Hospyan

Quand il ne crie pas tout l’amour, raisonné toutefois, qu’il porte à Michael Bay, Robert Hospyan cumule les casquettes de scénariste, réalisateur, ainsi que de rédacteur pour Rockyrama et le site FilmDeCulte.com.

 

En bonus